Après une première rencontre le 4 mai dernier, réunion du comité local nanterrien du Front de gauche jeudi 20 octobre, à 19h30, salle des fêtes, 2 rue des Anciennes mairies.
Ordre du jour :
Désignation d’une équipe d’animateurs (qui pourront être renouvelés régulièrement).
Mise en place d’un calendrier d’initiatives
Finalisation d’un appel présentant les valeurs et objectifs du comité local
Cette réunion permettra, nous l’espérons, d’impulser dans nos quartiers de véritables assemblées citoyennes, co-animées par tous ceux qui se reconnaissent dans les luttes face au néolibéralisme, et dans la recherche d’un projet alternatif.
Avec la présidentielle et les législatives de 2012 nous entrons dans une période décisive. Nombreux sont celles et ceux qui voudraient limiter notre choix entre X et Y sans avoir la possibilité de débattre du contenu des réformes que nous voulons voir mis en œuvre, sur les nouveaux droits que nous voulons voir appliquer. Au risque d’une nouvelle déception en 2012.
Malgré l’indéniable succès populaire des primaires socialistes, et l’irruption de thèmes (réappropriation de la finance à travers le contrôle des banques, VI République...) au coeur du projet du Front de gauche, les discours des deux finalistes, tant sur les retraites (moins d’un an après un mouvement social d’ampleur) que sur l’Europe, indiquent combien le débat à gauche doit être prolongé. Avec le Front de Gauche nous ne voulons pas en rester là : les primaires n’ont pas soldé le débat à gauche.
A l’heure où fleurissent, de part le monde, de large mouvement populaire d’indignations et de révoltes, nous n’avons pas le droit à la résignation.
Une dynamique commence à se créer. La construction politique s’élargit, bien au-delà des partis et organisations qui en sont à l’initiative. Avec le choix de Jean-Luc Mélenchon comme candidat commun à la présidentielle, avec la publication du programme « L’humain d’abord », base solide de propositions à débattre et enrichir, tout montre que cette dynamique n’en est qu’à ses débuts.
Le plus difficile reste à faire. Convaincre qu’il est possible de résister aux marchés financiers ; et créer les conditions pour que les citoyens s’emparent durablement de la politique. C’est le sens de l’investissement au sein du Front de gauche.
Désignation d’une équipe d’animateurs (qui pourront être renouvelés régulièrement). Mise en place d’un calendrier d’initiatives Finalisation d’un appel présentant les valeurs et objectifs du comité local
Cette réunion permettra, nous l’espérons, d’impulser dans nos quartiers de véritables assemblées citoyennes, co-animées par tous ceux qui se reconnaissent dans les luttes face au néolibéralisme, et dans la recherche d’un projet alternatif.
Avec la présidentielle et les législatives de 2012 nous entrons dans une période décisive. Nombreux sont celles et ceux qui voudraient limiter notre choix entre X et Y sans avoir la possibilité de débattre du contenu des réformes que nous voulons voir mis en œuvre, sur les nouveaux droits que nous voulons voir appliquer. Au risque d’une nouvelle déception en 2012.
Malgré l’indéniable succès populaire des primaires socialistes, et l’irruption de thèmes (réappropriation de la finance à travers le contrôle des banques, VI République...) au coeur du projet du Front de gauche, les discours des deux finalistes, tant sur les retraites (moins d’un an après un mouvement social d’ampleur) que sur l’Europe, indiquent combien le débat à gauche doit être prolongé. Avec le Front de Gauche nous ne voulons pas en rester là : les primaires n’ont pas soldé le débat à gauche.
A l’heure où fleurissent, de part le monde, de large mouvement populaire d’indignations et de révoltes, nous n’avons pas le droit à la résignation.
Une dynamique commence à se créer. La construction politique s’élargit, bien au-delà des partis et organisations qui en sont à l’initiative. Avec le choix de Jean-Luc Mélenchon comme candidat commun à la présidentielle, avec la publication du programme « L’humain d’abord », base solide de propositions à débattre et enrichir, tout montre que cette dynamique n’en est qu’à ses débuts.
Le plus difficile reste à faire. Convaincre qu’il est possible de résister aux marchés financiers ; et créer les conditions pour que les citoyens s’emparent durablement de la politique. C’est le sens de l’investissement au sein du Front de gauche.
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