Passons sur le titre de la une de la version papier : "il faut frapper, frapper, frapper", phrase sensée résumer le caractère supposé belliqueux du bonhomme, au lieu de " il faut frapper les marchés financiers, les frapper et les frapper encore". Ce qui change l'image du champion de la gauche, non ? Reconnaissons que le journal semble mieux respecter les clients de son site WEB. Et l'entretien au long cours, bien que les questions, déjà posées par des journalistes à la télé, ne soient guère originales, permet à Jean -Luc Mélenchon de développer des questions clefs du débat ouvert à gauche.
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