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Rassemblement devant la préfecture de Nanterre, en juin 2011, avec les postiers, contre la répression de la lutte syndicale |
Pendant le quinquennat de Nicolas Sarkozy de nombreux
salariés, syndicalistes, responsables associatifs et citoyens ont été fichés,
condamnés ou sont sous le coup de poursuites pénales ou administratives pour
avoir participé à une action collective en faveur de l’intérêt général ou au
service de revendications professionnelles et sociales. Parfois même une simple
distribution de tracts a suffi à les poursuivre en justice.
Trop de sanctions injustes ont été prononcées à
l’égard de militants qui par leur action citoyenne ont largement contribué à la
défaite de N Sarkozy. Ceux qui mériteraient d’être sanctionnés ne sont pas à
chercher parmi ces militants mais plutôt parmi ceux qui délocalisent ou
licencient sans autre motif que d’accroître leurs profits et qui détruisent
ainsi des milliers de vies.
La justice, c’est d’amnistier toutes ces
condamnations injustes.
L’avenir c’est de mettre fin à la
criminalisation des luttes sociales.
Tel est le sens de la proposition de loi
d’Amnistie sociale déposée par les Sénatrices et les Sénateurs du groupe CRC et
du Front de gauche. Celle-ci sera examinée au Sénat le mercredi 27 février
dans l’après-midi. Pas une seule voix de gauche ne doit manquer au vote de
cette loi.
Le Front de gauche appelle à se mobiliser, à se
rassembler pour soutenir cette proposition de loi.
Il appelle à un
rassemblement, en
présence de syndicalistes, de responsables associatifs
devant le Sénat mercredi 27 février à partir de 13 heures
Rendez vous au débouché de la rue de Tournon face à
l’entrée du Sénat 13 H
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