Moments toujours douloureux à Nanterre le 27 mars. Dans la
nuit du 26 au 27 mars 2002, un tueur ouvre le feu sur le conseil municipal en
pleine séance. Quand il est maîtrisé par des élus et des membres du
personnel communal, le bilan est lourd : 8 élus tués, 19 blessés, dont 12
conservent un handicap définitif. L’assassin emporte à jamais ce qui l’a
conduit à cet acte abominable : il s’est suicidé pendant sa garde à vue
par la police. Aux élu-e-s de Nanterre, quelles que soient leurs convictions
politiques, à qui il a enlevé la vie, la municipalité organisait ce matin un
hommage, sur les terrasses qui prolongent l’ « axe
historique », du cœur de Paris à La
Défense et la Seine. Des œillets blancs ont été déposés sous les plaques qui
portent les noms de Louisa Benakli, adjointe au maire ; Christian
Bouthier, conseiller municipal ; Jacqueline Duplenne, adjointe au
maire ; Monique Leroy-Sautier, conseillère municipale ; Olivier
Mazotti, conseiller municipal ; Valérie Méot, conseillère
municipale ; Michel Raoult, conseiller municipal ; Pascal Sternberg,
conseiller municipal, conseiller régional.

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