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Dimanche 24 mars, sur
le marché du centre ville, c’était l’inauguration publique de la nouvelle
banderole du Front de gauche à Nanterre. Réalisée pour quelques dizaines d’euros
en toile pour cerf-volant, elle est précieuse par le travail de son créateur, notre
ami le peintre-calligraphe Lotfi Fardeheb. Son message, « L’humain d’abord, pour une alternative à
l’austérité » fait écho pour toutes et tous les militant-e-s de gauche.
Le mouvement
de la jeunesse communiste tenait un stand brocardant ceux qui s’enrichissent
avec la crise, les grands patrons qui cassent l’industrie et assurent de gros
dividendes aux actionnaires, revendiquant de nouveaux droits pour les jeunes et
le SMIC à 1700 euros.
Des militant-e-s du PCF proposaient un Huma-dimanche dans
lequel les responsables des grandes associations caricatives dénoncent les
coupes dans le budget européen d’aide aux plus démuni-e-s : « La France
a faim ! ».
Des élu-e-s de la majorité municipale faisaient signer la pétition
contre un changement de la péréquation entre les communes, qui, à l'opposé d'une vraie solidarité, ferait que Nanterre
– et d’autres villes populaires - paierait beaucoup plus que Neuilly. Ce n’est qu’un des aspects des mauvais coups portés aux
communes. L’austérité que le gouvernement veut imposer entraînerait 5 milliards
de moins pour les collectivités locales, qui assurent pourtant au moins 70 % des
investissements publics économiques,
culturels et sociaux, et la réforme, faussement appelée « acte 3 de la
décentralisation », est dénoncée
par la majorité des élus locaux comme une recentralisation autoritaire. Dès mardi 26 mars, la séance du Conseil
municipal de Nanterre, consacrée au vote
d’un budget marqué par des restrictions, s’annonce douloureuse et animée.
iMercredi 3 avril, à Malakoff, le Front de gauche 92 organise une rencontre publique départementale sur le thème « L’alternative à l’austérité c’est
possible ! Pour l’emploi et sa sécurisation. » avec Brigitte
Gonthier-Maurin, sénatrice communiste, François Delapierre, secrétaire général
du PG, Denis Renard, responsable 92 de la CGT, et de nombreux élus,
syndicalistes et citoyens engagés dans la bataille pour l’emploi.

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